Cen’est pas le sang de la libertĂ© qui coule dans leurs veines, mais celui du goulag. Les vĂ©ritables « fachos » sont ceux qui pratiquent l’amalgame pour Ă©touffer la libertĂ© d’autrui, pour le faire taire : ce sont des terroristes intellectuels. Quand on lit un tweet des Jeunes communistes se fĂ©licitant d’avoir "tej" (jetĂ©) Finkielkraut, on en vient Ă  se demander si tous ont Rienest impossible Ă  celui qui croit . BilalïŒˆæŻ”ïŒ‰. TikTok. TĂ©lĂ©verser . Connexion. Pour toi. Abonnements. LIVE. Connecte-toi pour suivre des crĂ©ateurs, aimer des vidĂ©os et voir les commentaires. Connexion. Sujets populaires. ComĂ©die Gaming Cuisine Danse BeautĂ© Animaux Sport. Comptes suggĂ©rĂ©s. À propos TikTok Browse Salle de presse Contact Emplois Lhomme qui partage doit toujours se souvenir, comme le dit saint Paul, que « tout est possible Ă  celui qui croit ». De plus, rien n’est impossible Ă  Dieu. Un autre Ă©lĂ©ment Ă  prendre en compte, c’est que pour partager, il faut dĂ©velopper en soi la compassion, dans le sens de « savoir sentir avec les autres » : rire avec ceux qui rient, pleurer avec ceux qui pleurent, ĂȘtre Toutest possible Ă  celui qui croit Un texte de Francis Konan Partager TĂ©lĂ©charger Car rien n'est impossible Ă  Dieu (Luc 1: 37) Il y a des vĂ©ritĂ©s bibliques que nous prenons pour acquises et pour normales. Cela peut ĂȘtre dangereux parfois. LaBIBLE dĂ©clare que "rien est impossible Ă  DIEU"LUC1-37; MAT:19:26.En effet cette assertion signifie que tout est possible Ă  DIEU .Il y a donc lieu d'exhorter tous ceux (hommes,femmes)qui prĂ©tendent ĂȘtre des enfants du DIEU vivant qui se complaisent dans les lamentations quand ils se trouvent confrontĂ©s Ă  des problĂšmes.Nous les entendons trĂšs souvent dire que "c'est Rienn'est impossible Ă  celui qui inspire la dĂ©termination @Rashid00623930 @MoyindoM merci pour l'encouragement đŸ’ȘđŸ†đŸ‡šđŸ‡© c'Ă©tait pas facile de traverser la barre de 15m avec 180kgs sur le corps #strongmanmotivation #forceone #puissance #determinationwins #mbele #congolese Ilest vrai que ce n'est pas un exemple facile Ă  suivre, c'est mĂȘme impossible. Mais cela n'est pas un problĂšme, parce qu'en fait il ne nous invite pas Ă  suivre son exemple, il nous invite Ă  le suivre lui. C'est lĂ  toute la diffĂ©rence : il ne se contente pas de nous dire ce qu'il faut faire, ou mĂȘme de nous le montrer, mais il nous Cest incroyable. Les voies de Dieu sont au dessus de nos voies. Tout ce qu'on peut faire, c'est de croire que rien n'est impossible avec Dieu. On doit se soumettre Ă  la Parole de Dieu et Ă  sa volontĂ©. Lire la suite Repost 0. Dieu est Juste et MisĂ©ricordieux 14 Juin 2021 PubliĂ© dans #Amour de Dieu - de JĂ©sus, #Justice de Dieu. Dieu dit : Hors moi il n'y a pas de Dieu ; de Dieu Juste et AnimĂ©par une foi qui dĂ©place les montagnes, il croit que rien n'est impossible.» MĂȘme admiration du cĂŽtĂ© de l'ancienne ministre de François Mitterrand, Georgina Dufoix: «On ne IlN Est Point De VeritĂ© Qui Subsiste Sans Serment A Soit; Il N Est Rien De Si Beau Comme Caliste Est Belle De François De Malherbe; Il N Existe Pas De Conflits De GĂ©nĂ©rations Il N Y A Que De L IntolĂ©rance; Il N Y A D Homme Plus Complet Que Celui Qui A Beaucoup VoyagĂ© Qui A ChangĂ© Vingt Fois La Forme De Sa PensĂ©e Et De Sa Vie; Il N Y A qZ3BdO. Malick FADIGA ‱ TEDxGrandBassamMalick devient handicapĂ© suite Ă  un accident de la circulation en 2016. Il venait d’avoir son BAC. Il ressort vivant de cette secousse mais avec une grande sĂ©quelle qui nĂ©cessite une intervention chirurgicale Ă  la suite de laquelle, on lui annonce qu’il est tĂ©traplĂ©gique. Il a perdu l’usage de ses mains et de ses pieds. Comment revivre aprĂšs un tel choc, dans une sociĂ©tĂ© oĂč le handicap est considĂ©rĂ© comme la peste ? Malick est de ces personnes qui offrent Ă  leur prochain un sursaut de force et de courage pour avancer dans cette lutte acharnĂ©e qu’est la a TED MemberWant to hear more great ideas like this one? Sign up for TED Membership to get exclusive access to captivating conversations, engaging events, and more!This talk was presented to a local audience at TEDxGrandBassam, an independent event. Read more about devient handicapĂ© suite Ă  un accident de la circulation en 2016. Il venait d’avoir son BAC. Il ressort vivant de cette secousse mais avec une grande sĂ©quelle qui nĂ©cessite une intervention chirurgicale Ă  la suite de laquelle, on lui annonce qu’il est tĂ©traplĂ©gique. Il a perdu l’usage de ses mains et de ses pieds. Comment revivre aprĂšs un tel choc, dans une sociĂ©tĂ© oĂč le handicap est considĂ©rĂ© comme la peste ? Malick est de ces personnes qui offrent Ă  leur prochain un sursaut de force et de courage pour avancer dans cette lutte acharnĂ©e qu’est la talk was presented to a local audience at TEDxGrandBassam, an independent event. Read more about TEDxTEDx was created in the spirit of TED's mission, "ideas worth spreading." It supports independent organizers who want to create a TED-like event in their own community. Lorsque je rencontre cet amoureux de la vie et de la cuisine africaine, je ne sais pas encore Ă  quelle sauce je vais ĂȘtre mangĂ©e ». Bonne nouvelle, Kossi Modeste, l’entrepreneur franco-togolais fondateur d’ Afro Cooking » est ouvert et aime les gens. C’est pour les ravir qu’il lance son magazine dĂ©diĂ© Ă  la cuisine afrocaraĂŻbĂ©enne, en 2013. Aujourd’hui, le support possĂšde 15000 points de vente dans le monde, dont 7000 en France hexagonale et dans les Antilles françaises. Autour d’un bon repas, le jeune homme, qui a grandi Ă  OrlĂ©ans, a acceptĂ© de rĂ©pondre Ă  mes questions, afin de mieux se laisser dĂ©couvrir. Au cours de l’interview, vous aurez l’occasion d’en savoir plus sur l’homme qu’il est, son enfance, ses dĂ©fis professionnels, ses Ă©checs aussi. Et notamment sur son 1er festival We Eat Africa », qui aura lieu le 07 juillet 2018, Ă  Paris. Entretien. Tu as quittĂ© le Togo Ă  l’ñge de cinq ans, raconte-nous un de tes souvenirs de LomĂ© avant de partir pour la France ? Je suis nĂ© et j’ai grandi Ă  Tokoin. Mon papa et ma maman vivaient lĂ -bas et nous y avions un magasin en face de l’hĂŽpital. Je regardais la route par la voiture et je me rappelle qu’à 4 ans, j’ai quittĂ© la maison pour me rendre seul, Ă  pied, Ă  FrĂ©au Jardin pour aller voir ma tante, que j’aimais beaucoup. , ArrivĂ© sur place, tout le monde Ă©tait surpris car j’étais trĂšs jeune pour un tel trajet seul. Le goĂ»t de l’aventure m’a toujours animĂ©, j’aime dĂ©couvrir les choses. A quel Ăąge es-tu retournĂ© au Togo ? J’avais 17 ans. Mes parents estimaient que j’étais un petit voyou et ils avaient peur pour mon avenir car je sortais beaucoup, mĂȘme si j’aimais l’école. A l’époque, nous vivions dans un quartier sensible d’OrlĂ©ans. Ils m’ont donc envoyĂ© au bled » comme on disait, je devais y rester un an. Au dĂ©but, c’était le choc, puis la vie simple de LomĂ© proche des rĂ©alitĂ©s m’a plu. J’ai trouvĂ© une formation Ă  l’Item Institut Technique d’Electronique et de Micro-informatique. Au final, j’ai dĂ©cidĂ© de rester trois ans. L’éducation que j’ai reçue m’a beaucoup aidĂ©. Ma mĂšre disait souvent si tu veux quelque chose tu ne le voleras pas, travail pour l’avoir ». Mon pĂšre aussi m’a beaucoup appris. Il m’a fait arrĂȘter le football car il avait peur qu’il me dĂ©tourne des Ă©tudes. J’étais furax. De plus, Ă  chaque vacance, je devais lire un livre et lui en faire un rĂ©sumĂ©. C’est bien aprĂšs que j’ai compris lĂ  oĂč il voulait en venir et je l’en remercie aujourd’hui. Qu’est-ce que cette vie au Togo t’a apportĂ© dans ton parcours professionnel et/ou tes projets, par la suite ? Lorsque je suis rentrĂ©, je ne voyais plus la vie de la mĂȘme maniĂšre. AprĂšs deux annĂ©es de spĂ©cialisations, j’ai rapidement créé ma boĂźte dans le domaine du transport logistique. Je menais la belle vie en tant que chef d’entreprise. Cela a durĂ© trois ans. J’aimais faire de la route, cela me permettait de rĂ©flĂ©chir. L’entreprise se portait bien, mais cela a tournĂ© court lorsque j’ai eu dix employĂ©s. Il n’y a aucune Ă©cole qui peut t’apprendre Ă  gĂ©rer des hommes, c’est trĂšs difficile. Au niveau administratif, je ne gĂ©rais rien non plus. J’ai fait un burn out » et ai Ă©tĂ© hospitalisĂ©. Dans nos sociĂ©tĂ©s francophones, nous ne valorisons pas suffisamment l’échec or il est une forme de diplĂŽme, quelque part, car il enseigne beaucoup de choses. Qu’est ce qui s’est passĂ© par la suite ? A cette Ă©poque-lĂ , j’étais trĂšs dĂ©connectĂ©e de ma famille, qui entendait pas mal de choses circuler sur moi. Une fois Ă  l’hĂŽpital, je me rappelle que maman est arrivĂ©e et a virĂ© tout le monde de ma chambre. J’avais 25 ans ; j’ai dĂ» fermer l’entreprise, rendre mon appart spacieux et ma nouvelle voiture pour retourner vivre chez mes parents. Je n’étais plus en Ă©tat de conduire, de toutes les façons. J’ai mis une semaine Ă  remarcher, trois semaines Ă  conduire de nouveau. Les amis en rĂ©alitĂ© lĂ  pour profiter de ma rĂ©ussite, je n’en ai pas vus beaucoup Ă  mon chevet, lorsque j’étais convalescent. Ma famille par contre a toujours Ă©tait lĂ  pour moi. Tu as lancĂ© ta start-up Afro Cooking » en 2013, puis le magazine du mĂȘme nom, qu’est-ce qui t’a motivĂ© Ă  cela ? J’ai appris la cuisine auprĂšs de ma mĂšre qui cuisinait souvent pour les mariages et autres. Un jour, j’ai voulu lui rendre hommage en Ă©crivant un petit mot Ă  son intention, dans un magazine culinaire afro, en Belgique, oĂč je vivais Ă  l’époque. J’ai Ă©tĂ© surpris lorsque le libraire m’a dit que cela n’existait pas ! Je me suis dit je vais le faire dans ce cas ! ». Mon cĂŽtĂ© serial entrepreneur me vient d’elle. Elle m’a appris Ă  ne pas avoir peur en me disant que rien n’était impossible Ă  celui qui croit et qui agit. Autour de moi, les gens pensaient que cela ne marcherait pas. Je ne connaissais rien dans le domaine du print mais j’ai appris sur le tard. Je l’ai fait car il y avait une rĂ©elle attente des lecteurs et lectrices. Maintenant, ils sont trĂšs fiers de tenir en main un tel magazine comme le nĂŽtre. Aujourd’hui Afro Cooking » est vendu Ă  plus de 35 000 exemplaires dans plus de 20 pays dans le monde. J’ai toujours eu cette Ăąme d’entrepreneur. DĂ©jĂ  au collĂšge, lorsque j’avais 13 ou 14 ans, je faisais des pralines, je revendais des sucettes, des cacahuĂštes sucrĂ©es Ă  mes camarades. J’avais aussi un stock de glaces dans mon congĂ©lateur que je revendais Ă  mes amis qui jouaient au basket, en bas de chez moi, durant l’étĂ©. En 2013, tu organises l’évĂšnement miss Congo Belguim rĂ©unissant les deux pays du Congo Brazzaville et de la RDC. Tu es fonciĂšrement un rassembleur qui souhaite voir taire les divisions au sein de l’Afrique ? Depuis tout petit, je ne me suis jamais posĂ© la question de savoir qui est qui ? » et tu es d’oĂč ? ». Je me rappelle que durant mon enfance, bien que je sois chrĂ©tien, aprĂšs le ramadan, lors de la fĂȘte, nous Ă©tions et mangions tous ensemble, avec mes amis musulmans. Toutes les divisions et bĂȘtises communautaristes sont arrivĂ©es en grandissant bien aprĂšs. Je me suis intĂ©ressĂ© au domaine des miss suite Ă  ma participation Ă  l’évĂšnement Miss Black France ». L’idĂ©e de rĂ©unir les deux Congo n’a pas Ă©tĂ© comprise ; j’avais envie de rassembler, au-delĂ  des frontiĂšres et querelles habituelles. Nous avons eu un bel Ă©vĂšnement et beaucoup de retours positifs, l’event Ă©tait une rĂ©ussite mĂȘme si j’y ai perdu des plumes. Cependant, je ne le regrette pas. Lire aussi Julio Teko l’étoile montante du cinĂ©ma togolais Tu voyages Ă©normĂ©ment. Au fond, qu’est ce qui fait courir Kossi Modeste ? Ce sont gĂ©nĂ©ralement les autres qui me font courir. Pour moi, celui-lĂ  qui aura dĂ©couvert le monde entier sera riche car il aura dĂ©couvert les autres. Nous nous ouvrons l’esprit par les voyages et nous arrivons alors Ă  mieux cerner les autres. Personnellement, j’ai dĂ©couvert que l’ĂȘtre humain peut changer d’avis sur toi et laisser tomber les prĂ©jugĂ©s qu’il avait, avec un simple sourire. GrĂące Ă  mes voyages, je vois aussi des choses que je peux faire chez moi et trouve des idĂ©es. J’adore voyager, cela me nourrit beaucoup ! Lors d’une prĂ©cĂ©dente interview, tu as Ă©voquĂ© la problĂ©matique de la libre circulation des personnes en Afrique, est-ce un thĂšme qui te touche ? Oui, car aujourd’hui, en Europe, les frontiĂšres sont ouvertes, ils se dĂ©couvrent, et ils se rendent compte que l’union fait la force. En Afrique, c’est bizarrement l’inverse le continent est fermĂ©, nous nous cloisonnons alors que nous devrions ouvrir les frontiĂšres. Prenons un exemple, la CĂŽte d’Ivoire et le Ghana sont tous deux producteurs de cacao, c’est aberrant de voir qu’ils ne peuvent pas mieux Ă©changer alors qu’ils ont cela en commun. Aujourd’hui, un europĂ©en voyage plus facilement sur le continent qu’un africain lui-mĂȘme. Les choses sont en train d’évoluer dans le bon sens avec certains pays pionniers comme les pays anglophones, mais cela prend trop de temps. A la maison, tu dis avoir eu comme modĂšle une famille dans laquelle papa et maman cuisinaient ensemble. Qu’est-ce que cela t’a enseignĂ© sur la paritĂ© homme/femme lorsque nous savons que sur le continent et ailleurs, beaucoup d’hommes considĂšrent encore que seule la femme a sa place en cuisine? En rĂ©alitĂ©, mĂȘme dans nos sociĂ©tĂ©s trĂšs patriarcales, les femmes ont toujours entrepris mais on ne les mettait pas en valeur, ce qui est diffĂ©rent aujourd’hui, car avec le women empowerment, enfin elles occupent la place qu’elles auraient toujours dĂ» occuper. La nouvelle gĂ©nĂ©ration est en train de prendre la place qui lui revient de droit et c’est tout Ă  fait lĂ©gitime. Je ne suis pas d’accord avec cette pression constante sur la femme a qui on demande, implicitement ou non, d’arrĂȘter son mĂ©tier pour Ă©lever les enfants etc. Je pense que ce sont des changements salutaires au bien-ĂȘtre de tous, et qui sont en train d’arriver en Afrique Ă©galement. Avec ton Ă©quipe, vous allez organiser “We Eat Africa” un festival dĂ©diĂ© Ă  la cuisine africaine le 07 juillet prochain Ă  Paris, c’est un rĂȘve qui se rĂ©alise ? Oui, ce festival est important pour nous parce que nous avions envie d’apporter autre chose, au-delĂ  de la cuisine. C’est d’ailleurs avant le chef Anto, rĂ©dactrice en chef d’AfroCooking, qui est au-devant de tout cela, car c’est son domaine. Notre motivation premiĂšre Ă©tait la visibilitĂ© et lorsque nous nous sommes rendus compte qu’un Ă©vĂšnement de ce genre n’existait pas, on s’est dit que nous allions l’organiser nous-mĂȘmes pour ĂȘtre Ă©galement maĂźtre de nos savoir-faire. Un festival culinaire sur l’Afrique Ă  Paris, c’est une premiĂšre du genre, peux-tu nous dire un peu ce que le public est en droit d’attendre d’un tel Ă©vĂšnement ? Il y aura plein de choses sourire comme des confĂ©rences autour de la cuisine, avec des thĂšmes comme la cuisine fusion contre la cuisine traditionnelle, par exemple. Nous comptons aussi faire le cheminement avec nos visiteurs de la terre Ă  l’assiette, en invitant des agriculteurs, des cuisiniers, des exposants, des chefs, comme le chef Anto bien sĂ»r, mais aussi Alexandre Bella, Ola Christian, Rougui Dia, Fatema Hal, etc. Ce festival sera aussi l’occasion de rĂ©flĂ©chir aux problĂ©matiques liĂ©es Ă  la cuisine africaine. Nous aurons aussi des ateliers pour enfants car c’est Ă  cet Ăąge-lĂ  que nous pouvons mieux transmettre le goĂ»t de la cuisine aux enfants, et bien d’autres surprises. Le mot de la fin ? Croyez et investissez en vous. Croyez en vos rĂȘves mĂȘme s’ils semblent fous. Les folies sont les seules choses qu’on ne regrette jamais. Related TopicsafriqueafrocaraĂŻbeafrocookingcookcookercookingcuisinecuisine afroeatentreprendreentrepreneurentrepriseĂ©vĂšnementfestivalinterviewKossi ModestemangermissparispartagerepasTogovoyageWe Eat Africa zoom_out_map chevron_left chevron_right Texte au recto Rien n'est impossible Ă  celui qui croit. Texte au verso Tout est possible Ă  celui qui croit Marc Car rien n'est impossible Ă  Dieu Luc Diffusion CB local_shipping Livraison Ă  0,01€ Ă  partir de de commande hors frais de port. Sous conditions Description Fiche technique Format +/- 10,5 x 15 cm RĂ©fĂ©rence CP/CC201514/ADS ThĂšme Toutes circonstances Type de carte Simple Conditionnement A l'unitĂ© Les clients qui ont achetĂ© ce produit ont Ă©galement achetĂ©...