Puisquela sécurité est l’affaire de tous, elle est celle de chacun d’entre nous, d’entre vous. C’est pourquoi nous avons voulu mettre à l’honneur ces personnels qui, tous les jours de l’année et 24h/24h, accomplissent avec professionnalisme et détermination une mission de sécurité publique qui participe au maintien de l’ordre et de la discipline dans nos Hôpitalde Jolimont à La Louvière : la sécurité des patients est l'affaire de tous 22 janv. 2019 à 12:17 • 2 min Par Mathieu Van Winckel, Daniel Barbieux Enréalité, la sécurité est l’affaire de tous : chacun est responsable de sa sécurité et de celle des autres. Détaillons. Quelques chiffres. En 2014, 540 salariés ont perdu la vie au travail. Les CPAM ont enregistré 570 000 accidents du travail ayant entraîné un arrêt de travail de quatre jours et plus. EnEurope, de groupes industriels collaborent avec la Commission européenne à la promotion de normes de sécurité ouvertes et non propriétaires spécialement destinées aux Cloud publics et privés. Le Cloud Council de DigitalEurope, en lien avec les membres de l’industrie, cherche à faire du Cloud computing un moteur de croissance économique plus JeanCastex dans une interview exclusive à Nice-Matin: "La sécurité est l’affaire de tous" Dans sa première interview à un quotidien de la presse régionale, le Lasécurité au travail est l’affaire de tous. Publication: 01.06.2018 . Chaque accident sur le lieu de travail est un accident de trop, a fortiori s’il est possible de l’éviter par la prévention et par un comportement adéquat. C’est pourquoi Honegger investit depuis de nombreuses années dans la sécurité au travail. Elle concerne de la même façon les Limportance de la sécurité sanitaire des aliments Chaque année, une personne sur dix dans le monde tombe malade après avoir ingéré de la nourriture contaminée. Les groupes vulnérables, comme les personnes âgées, les enfants de moins de cinq ans et les populations pauvres, sont les plus exposés et les plus susceptibles de EricBoucourt, sous-préfet de Montceau, Le Creusot et Autun. Eric Boucourt, sous-préfet d’Autun, Le Creusot et Montceau : « La sécurité c’est l’affaire de tous. Ce dispositif, qui a été développé dans un premier temps en zone rurale, permet de créer un lien privilégié entre les autorités et vous-mêmes. Ca veut dire observer Lasécurité est l’affaire de tous; Morin a fait un rêve mardi 4 juin 2019. par Daniel Morin. La sécurité est l’affaire de tous . 3 minutes Deconcert avec les autres Etats membres du traité de Varsovie, elle a proposé que se réunisse une conférence de tous les Etats européens pour examiner les problèmes de la sécurité et de la coopération, qu’elle considère comme une étape dans la voie de la solution des problèmes fondamentaux de la sécurité européenne. L’idée d’une telle conférence n’a Jlrgm. Ah qu’il est bon de recevoir des nouvelles de ceux qu’on aime ! Surtout quand était sans nouvelle d’un être particulièrement cher depuis longtemps… Et depuis hier ouf » c’est bon ça va j’ai des nouvelles d’Alexandre Bénalla ! Alors non Bénalla et moi on n’est pas proches mais sans le savoir il m’a apporté tellement de matière pour écrire mes chroniques que pour moi c’est devenu un proche ! Alors qu’est ce qu’il devient ce cher Alex ? Et bien figurez vous que c’est Marcel Campion, le gentil forain mafieux homophobe qui lui a trouvé du boulot ! Bénalla va devenir consultant sécurité pour la foire du Trône ! Ah ben merde alors… J’en ai entendu des intitulés d’emploi fictif mais des comme ça c’est balaise non ? J’imagine les réunions avec Alexandre le consultant sécurité.. Bon les gars qui dit foire dit foule, qui dit foule dit agitation, qui dit agitation dit danger, qui dit danger dit mobilisation, qui dit mobilisation dit vigilance, qui dit vigilance dit matraque ! Règle n°1 Si vous voyez un rassemblement de plus de 5 personnes vous dispersez, si y a résistance vous matraquez Règle n°2 Si vous repérez des agitateurs, réaction immédiate vous prenez à la gorge et vous exfiltrez une fois le ou les individus exfiltré vous revenez à la règle n°1 vous matraquez ! Règle n°3 Vous apprenez les règles n°1 et n°2 par cœur ! En cas de problème - du style décès d’un individu matraqué - suite à l’application de la règle n°1 vous venez me voir immédiatement là je vous remettrais un passeport dit diplomatique » et vous pratiquez sur vous-même la règle n°2 l’exfiltration » Bon ben voilà on le sait, on ne sera pas du tout en sécurité à la foire du trône ! A tout moment on pourra se faire taper sur la gueule ! Autre sujet tout aussi grave ! Vous vous en souvenez surement en début d’année deux accidents d’avion avaient secoué l’univers des transports aériens. Deux accidents dans lesquels étaient impliqués des Boeing 737 Max ! Interdiction de voler pour ces appareils depuis mi-mars, gros manque à gagner pour les compagnies et le constructeur, du coup le constructeur a multiplié les enquêtes et hier tin nin » l’annonce de Boeing On a trouvé le problème de nos 737 y a un problème sur les ailes » Allo ? Un problème sur les ailes ! Tu construits des avions, tu vérifies pas hyper bien les ailes et tu te dis c’est ok ils peuvent voler » et faut deux accidents pour que tu vérifies que les ailes de ton avion sont OK ! La suite à écouter et à retrouver en vidéo ! La sécurité sur les pistes de ski alpin est assurée dans chaque station par le service des pistes composé de personnels qualifiés spécialement formés et entraînés les pisteurs-secouristes, les conducteurs d’engins de damage, les nivoculteurs, les artificiers, les observateurs nivo-météo, les maîtres-chiens d’avalanche, les opérateurs du central des pistes. Mais la sécurité c’est aussi l’affaire de tous! Pour que votre séjour se passe au mieux et sans encombre, des règles sont à respecter. Alors prenez un instant pour connaître ces règles en visionnant le reportage ci-dessous. Les 8 règles du Piste X Code La difficulté des pistes Pour sécuriser la pratique du ski alpin, les pistes sont classées en quatre catégories identifiées par un code couleur selon leur niveau de difficulté. Des balises sont positionnées sur l’un des bords de la piste pour vous permettre de vous repérer. Elles sont numérotées par ordre décroissant et indiquent le nom de la piste sur laquelle vous évoluez. Par exemple, le chiffre 1 sur fond vert signifie que vous êtes arrivé en bas d’une piste verte. Autrement dit, en bas d'une piste de niveau facile. En cas d'accident, les indications "nom de la piste" et "n° de balise" doivent être communiquées pour faciliter l’éventuelle intervention du service des pistes. A titre d'information, seules les pistes déclarées ouvertes sont contrôlées par les pisteurs, en dehors de celles-ci vous évoluez à vos risques et périls. Pour précision, sont affichés sur les lieux de passage les plus fréquentés le bulletin météorologique et le bulletin sur le risque d'avalanche. Se préparer avant son séjour - Préparé Le ski ou le surf reste un sport. Alors pensez à vous échauffer, à doser vos efforts et vous hydrater correctement et tout ira bien! - Équipé Pour bien skier, vous devez d’abord choisir un matériel adapté à votre niveau technique, votre taille et votre poids. Le réglage et l’entretien des fixations sont ensuite essentiels pour limiter les risques en cas de chute ou de choc. Pour cela, demandez conseil dans les magasins spécialisés. - Protégé La tête est très exposée dans les sports de glisse. Pour limiter les traumatismes, portez un casque! - Assuré Les secours sur pistes ne sont pas gratuits... Avant de vous lancer, vérifiez que vous êtes bien assuré. En savoir plus sur l'assurance ski... LAISSEZ-VOUS SURPRENDRE Réservez votre forfait "La sécurité n'est pas une compétence de la Région, mais la région peut co-produire de la sécurité", estime ce lundi matin Cyril Hemardinquer, têter de liste du Rassemblement National dans le Loiret aux élections régionales et par ailleurs candidat aux élections départementales sur le canton de Courtenay. Le syndicaliste policier, en poste dans les Yvelines, en fait son axe de campagne. Il était l'invité de France Bleu Orléans. Les élections départementales tout d'abord zéro élu pour le Rassemblement National en 2015. Vous pensez réussir à faire mieux cette fois ci? En tout cas, je l'espère. J'ai grand espoir de faire mieux. Le climat politique nous est quand même assez favorable. Il faut savoir qu'on avait des cantons qui avaient dépassé la barre des 40% en 2015. J'espère qu'avec l'évolution politique actuelle, la dictature d'En Marche, le "ni gauche ni droite" de nos partis centristes et l'ensemble de l'échiquier politique, nous devrions arriver à réveiller les Français et à les amener à réaliser que le Rassemblement National est la meilleure option pour eux, sur tous les scrutins. Une dictature d'En Marche qui vous permet tout de même d'être candidat à ces élections. Vous êtes d'ailleurs candidat sur le canton de Courtenay, l'un des cantons où le Rassemblement National a fait le plus gros score en 2015. Vous vous dites, "je ne prends pas de risque" ? Non du tout. Déjà, rien n'est acquis en politique. On ne peut pas aller sur un canton et se dire qu'on ne prend pas de risque. Prendre Courtenay, même pour moi est un gros risque puisque c'est le canton qui avait fait le meilleur résultat la dernière fois, et si je ne le fais pas basculer ce coup-ci, ce sera un échec qu'il faudra que j'assume personnellement. Cela veut dire quoi ? Si vous n'êtes pas élu Courtenay, vous quittez la tête du Rassemblement National dans le Loiret ? Non, absolument pas. Le Loiret ne se résume pas au canton de Courtenay. C'est juste que j'ai un engagement vis-à-vis de mes militants. J'ai un engagement vis-à-vis de mes sympatisants et de tous les Français qui votent Rassemblement National et donc je dois atteindre mes objectifs. Pour moi, l'échec n'est pas d'une option. Si jamais j'ai, j'étais en échec, bien évidemment, il faudra rebondir pour continuer à aller de l'avant avant. Nous avons l'élection présidentielle en 2022, c'est quand même une étape décisive pour le pays et nous oeuvrerons en ce sens par la suite. Le Rassemblement national a du mal à fidéliser dans le Loiret. Sur les 42 candidats présentés pour les départementales, seuls quatre étaient déjà présents en 2015. Ça vient d'où ? C'est un problème d'image, de réussir à tenir dans le temps? Non, du tout, c'est un problème de turn-over des personnes. Dans un de vos articles, là, il était écrit que j'avais réussi à boucler tous les cantons, non sans mal. C'est tout à fait faux. Il faut savoir que j'avais un grand panel de candidats. Nous avons pu les choisir. Nous avons pu faire face aux éventuelles défections de dernière minute. Nous avons déposé la liste de nos 21 cantons le premier jour où c'était possible à la préfecture, je n'ai eu aucun mal à trouver des candidats. C'est vrai que le dernier article qui a été fait par France Bleu indique que j'ai des couples chez moi. Je ne savais pas que c'était interdit en politique d'avoir les deux qui s'engagent en politique. C'est une nouveauté. Vous savez, quand on s'engage en politique, très souvent, c'est très chronophage, et si la famille ne suit pas ou n'adhère pas au projet, c'est très compliqué. Ce qui explique pourquoi nous avons tant de couples représentés. Vous êtes donc tête de liste pour les élections régionales dans le Loiret. Un policier en tête de liste, ça annonce la couleur la sécurité, pincipal axe de campagne du Rassemblement National ? Tout à fait. La sécurité, c'est un problème essentiel en France aujourd'hui. La sécurité, c'est aussi l'affaire de tous et on ne voit pas pourquoi ça ne serait pas l'affaire des régions. Les Régions n'ont pas vraiment la main sur la sécurité. Ce n'est pas la Région qui décide du nombre de policiers municipaux ou de policiers nationaux dans nos rues. La sécurité n'est pas une compétence de la Région, mais la région peut co-produire de la sécurité comme cela s'est déjà vu notamment en région Île-de-France, par exemple. La Région, peut subventionner ou du moins cofinancer et aider les mairies à obtenir des budgets plus conséquents pour recruter des policiers municipaux. La région a certains leviers pour pouvoir amener plus de sécurité, notamment dans les transports. Elle peut être un acteur vraiment très important et nous avons plusieurs expérimentations en termes de sécurité que nous souhaiterions mettre en place dans la région Centre-Val de Loire. Vous êtes donc policier dans les Yvelines, élu au conseil municipal à Maintenon, en Eure et Loir, candidat aux départementales dans le Loiret, tête de liste aux régionales pour le Loiret. Ce département, c'est une étape parmi d'autres ? Non, le Loiret, c'est ma nouvelle destination. Initialement, j'aurais dû m'installer dans le Loiret cette année, à cause de la Covid, tout a pris un petit peu de retard. Je suis aussi contraint par la profession de mon épouse, donc, pour l'instant, je suis toujours physiquement sur Maintenon. J'ai assumé mon mandat de conseiller municipal qui est un mandat totalement bénévole, où je siège dans huit commissions qui ne me rapportent absolument rien, je fais ça vraiment parce que je me suis engagé auprès des gens qui m'ont élu. Quand je serai sur le Loiret et que je passerai la main à ma seconde de liste, elle continuera l'engagement du Rassemblement National sur place.